La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1463)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1447) -

… ma bouche et mon cul faisaient l'objet d'une utilisation régulière et répétée... Ainsi, l'année universitaire avançait dans le temps... Le Maître, Monsieur le Marquis d'Evans avait naturellement survolé les épreuves et pensait déjà à la suite qu'Il donnerait à Ses hautes études. J’avais également appris que l'esclave Joëlle avait connu le succès. Afin d'évoquer la suite de sa formation, elle avait été confiée pour une semaine entière à un Directeur d'UFR qui participait à un séminaire à l'étranger. esclave Joëlle pouvait ainsi à ses côtés poursuivre sa formation théorique mais aussi apprendre à combler les Exigences particulièrement pervers de cet universitaire de haut niveau qui avait à Son Actif de Supérieur, le dressage sans concession de quelques femelles qui n'oublieraient jamais lorsqu'elles dirigeaient un colloque devant les plus savants parterres, ce qu'elles avaient subi (et subissaient encore régulièrement) sous La houlette de ce Dominant et donc membre du Cercle des Supérieurs, et si friand des suppliques serviles de Ses plus brillantes doctorantes...

Quant à moi, naturellement grâce au traitement prodigué par Le Maître, j'avais obtenu de bons résultats, même si quelques matières laissaient encore à désirer. Pour lesquelles, je dus encore subir quelques passages sur le tabouret-gode électrique si motivant pour apprendre vite et bien... Mon passage dans l'année supérieure semblant assuré, et le Noble avait pris la décision de me faire progresser dans ce qui comptait plus que tout : Faire de moi un esclave total, que le Châtelain pourrait mener partout où bon Lui semblerait et dont Il pourrait disposer corps et âme en sachant que rien ne pourrait venir entraver Sa Pleine Jouissance de Sa propriété. Et surtout pas la moindre maladresse de Son esclave si servile et avili...

Plus le temps s'écoulait et plus j'avais, sans vraiment en avoir conscience, franchi des caps dans cette puissante appartenance qui avait si totalement bouleversé l'intégralité de ma vie, depuis le début de cette année universitaire si .

.. exceptionnelle !… En quelques mois, par Sa forte Personnalité, Son grand Esprit, Son Emprise permanente, Son Charisme si impressionnant, Le Maître, Monsieur le Marquis d'Evans avait totalement infléchi le sens même de ma vie. En devenant la Propriété la plus absolue du Noble, ce n'est pas seulement l'insignifiante créature que j'étais qui avait été métamorphosée, mais toute une compréhension du monde. Pour l'esclave que j'étais devenu, ce monde ne pouvait passer que par le Prisme du Maître. Il ne disposait pas seulement du corps de Son esclave, mais Il façonnait également son esprit. Chaque fois qu'Il affirmait Son Pouvoir en possédant le corps servile, Il enchaînait un peu plus encore les pensées de l'esclave qui n'était habité que d'un seul et unique désir, que d’une seule et unique motivation, que d’un seul et unique objectif : Satisfaire Le Maître, apprendre à Le combler quoiqu'Il exige, et n'exister que pour Le vénérer...

En l'absence d'esclave Joëlle, Monsieur le Marquis d'Evans avait justement prévu d'intensifier mon formatage d'être un simple objet sexuel, juste une chose que je suis pour Lui. Les partiels étant désormais terminés, il était possible de passer à autre chose. Ainsi, la semaine s'annonçait particulièrement intense. Dans la pièce, qui avait été de façon si éphémère et désormais lointaine ma "chambre d'étudiant en colocation", je fus assis sur le tabouret-gode qui s'était avéré tellement utile et efficace pour les révisions. Dos au mur, mes poignets étaient fixés sur les côtés à des anneaux de fer scellés dans le mur. Ainsi "crucifié", Le Maître fixa sur moi un "bâillon-bouche ouverte" en silicone qui maintenait ma bouche largement ouvert et donc parfaitement accessible et disponible. Immobilisé, le cul empalé et rempli d’un gode fort volumineux, je vis le Châtelain prendre un peu de recul pour apprécier le spectacle qu'offrait ainsi Son esclave... Il demeura ainsi un bref instant, puis s'approcha et dégagea Son Vit viril dont je pus immédiatement mesurer le degré d'excitation et comprendre que ma position rendait ma bouche en "orifice buccal".
Ainsi j'allais apprendre à la désigner désormais, idéalement atteignable pour un Membre viril brandi par un Mâle Debout et Dominant... L'introduction fut brève, violente, profonde et sans concession. Et surtout, elle dura longtemps, longtemps en un coït buccal dont l’immobilité commençait à m’. Je dus donc bien me concentrer pour respirer par le nez ...

Le Maitre ne se pressait pas. Planté au fond de ma gorge, Il commença à bouger par des petits coups de reins secs et réguliers, il allait et venait entre mes lèvres, s'enfonçant en gorge profonde, puis se retirant lentement avant de revenir au plus profond de mon "orifice buccal" offert qui s'abandonnait totalement à Sa Volonté de pénétration et de possession... Le Noble savait si parfaitement maîtriser Ses Efforts qu'il fit durer et durer encore cette première leçon, jusqu'à ce que, dans un bref râle, Il daigne honorer la bouche et la gorge de Son esclave de Son abondante et épaisse Semence que je sentis emplir mon orifice, couler lentement dans ma gorge. Le Maître se retira après m’avoir fait lécher son gland et sa hampe et quitta la pièce, sans me dire aucun mot. Je demeurai là, haletant, avec un peu de Semence coulante dans la commissure de mes lèvres, la bouche si délicieusement nourrie de Son Plaisir de Son Nectar éjaculatoire.

Lorsque le Maître revint, une trentaine de minutes plus tard, j'étais encore sous le coup de l'émotion si fortement ressentie. Je n'osais lever les yeux vers Lui ! Mais je gardai les yeux rivés sur Sa Verge épaisse et fièrement dressée à nouveau... Je remarquai que le corps du Maître semblait humide et frais, sans doute venait-Il de prendre une douche et voilà que déjà, Il se montrait si virilement Dressé, comme prêt à posséder à nouveau l'orifice buccal de Son esclave qui n'espérait que cela ! Mas il n'en fut rien. Tout proche maintenant, Son impressionnante érection frôlant mon visage, il défit le bâillon qui contraignait ma servile bouche... Pour le remplacer immédiatement par un autre, cette fois un bâillon-gode emplissant l'orifice buccal.


- Ces lèvres se doivent de demeurer ainsi toujours ouvertes et prêtes à servir. Comme ton orifice buccal qui servira encore et toujours de réceptacle, à l’instar de ton cul. Tu vas demeurer ainsi avec ta bouche et ton cul rempli, car c'est à cela que je veux te formater. Tu m'appartiens et je te veux plus impudique, plus expert, plus offert que la plus perverse des catins. Sur Mon Ordre, tu t'offriras, tu subiras et tu satisferas, en n'oubliant jamais que quoi que tu fasses, tu ne cesses jamais d'être à Moi ! De m'appartenir. Et ne déçois personne, car c'est Moi qui serai sali par tes actes et tu devrais en payer le prix... Maintenant restes là et médites donc. Quant à Moi, je suis d'humeur plaisante et Mes Exigences sont encore à être comblés, par d'autres lèvres et d'autres orifices bien plus experts que les tiens. Mais tu apprendras et je vais prendre plaisir à te façonner désormais à devenir juste 2 trous à user et r sans modération...

Et Le Maître quitta la pièce, me laissant ainsi immobilisé, bouche et cul remplis, éperdu de dévotion envers Lui, n'aspirant qu'à mériter de Le satisfaire de toutes les façons qu'il Lui plairait d'imaginer afin d'user et r sans aucune limite de ce corps d'esclave qui Lui appartenait et sur lequel Il avait tous les droits, dès maintenant et à jamais... La semaine commençait à peine, je n'allais pas tarder à découvrir combien il était aisé de posséder un corps d'esclave de bien des façons...

(A suivre …)

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